Troubles associées

Plusieurs troubles et difficultés peuvent accompagner un trouble du contrôle sphinctérien :

1/Des affection JXUwMDM1JXUwMDg0JXUwMDhkJXUwMDBkJXUwMDBhJXUwMDAyJXUwMDBkJXUwMDA5JXUwMDE2 : environ JXUwMDY5JXUwMDAx % des enfants incontinents souffrent d’une affection organique. L’énurésie peut être provoquée par le diabète, certaines maladies neurologiques et maladies rénales, et par des infections urinaires. L’encoprésie, quant à elle, peut être provoquée par des maladies JXUwMDMxJXUwMDA3JXUwMDFhJXUwMDExJXUwMDE2JXUwMDA3JXUwMDFkJXUwMDA3JXUwMDBmJXUw MDBkJXUwMDA5JXUwMDE2 (voir maladie de Crohn et maladie d’Hirschsprung).

2/Des troubles JXUwMDI4JXUwMDAzJXUwMDBhJXUwMDFhJXUwMDBiJXUwMDA3JXUwMDFmJXUwMDExJXUwMDE1JXUw MDFjJXUwMDA3JXUwMDAzJXUwMDAzJXUwMDA4JXUwMDBlJXUwMDE4JXUwMDA0JXUwMDEwJXUwMDE2 : environ JXUwMDZiJXUwMDA2 % des enfants incontinents présentent un déficit de l’attention et/ou d’hyperactivité (ADHD), un trouble du comportement ou un trouble du type anxieux.

3/Des retards JXUwMDMxJXUwMDA3JXUwMDFhJXUwMDExJXUwMDA5JXUwMDAwJXUwMDA5JXUwMDA2JXUwMDE3JXUw MDAxJXUwMDEwJXUwMDA5JXUwMDFm et des difficultés JXUwMDJiJXUwMDEwJXUwMDBjJXUwMDAzJXUwMDBkJXUwMDA4JXUwMDFiJXUwMDE3JXUwMDE2 : diverses recherches mettent en évidence un lien entre énurésie et retard intellectuel ou scolaire.

4/Des troubles d’ JXUwMDM5JXUwMDA1JXUwMDA1JXUwMDExJXUwMDA0JXUwMDE1JXUwMDE1JXUwMDFkJXUwMDA2JXUw MDAx générale : les troubles du contrôle sphinctérien sont souvent associés à une faible JXUwMDNkJXUwMDE2JXUwMDA3JXUwMDFkJXUwMDA0JXUwMDA4 de JXUwMDJiJXUwMDFjJXUwMDA2 et à d’autres problèmes d’adaptation.

La prévalence des troubles du contrôle sphinctérien

Les taux de prévalence des troubles du contrôle sphinctérien varient de manière importante suivant les échantillons, les méhodes utilisées et les définitions.

À titre d’exemple, l’étude de Liebert et Fiechel (1990) montre que JXUwMDZhJXUwMDAy % d’enfants sont énurétiques à 4 ans, JXUwMDY5JXUwMDAy % entre 5 et 7 ans et JXUwMDYw % entre 9 à 11 ans. L’énurésie persiste chez JXUwMDZi % d’adolescents et chez JXUwMDZh % de jeunes adultes. Pendant l’enfance, l’énurésie atteint les JXUwMDNmJXUwMDA2JXUwMDEzJXUwMDk1JXUwMDg4JXUwMDAxJXUwMDFk plus souvent que les JXUwMDNlJXUwMDBmJXUwMDA1JXUwMDAwJXUwMDA5JXUwMDE2 . Cette différence s’atténue avec l’âge : à l’adolescence les taux de prévalence entre garçons et filles sont comparables.

Le même étude de Liebert et Fiechel (1990) montre que seul JXUwMDZi % d’enfants sont encoprétiques à 4 ans, et JXUwMDY5JXUwMDFkJXUwMDE5 % entre 6 et 10 ans. La prévalence de l’encoprésie tend donc diminuer avec l’âge. Encore une fois, l’encoprésie est plus fréquente chez les JXUwMDNmJXUwMDA2JXUwMDEzJXUwMDk1JXUwMDg4JXUwMDAxJXUwMDFk que chez les JXUwMDNlJXUwMDBmJXUwMDA1JXUwMDAwJXUwMDA5JXUwMDE2 – rapport de JXUwMDZi : JXUwMDY5 .