Moyens utilisés pour la rédaction des pages HTML:
Rédaction en HTML:
(Sur le modèle de F. Henri (Computer Conferencing and Content Analysis))
Les 5 dimensions considérées sont:
a. Nombre de messages
(Pour lire l'ensemble des messages liés à mes fiches-concepts: aller voir page Staf13)
b. Contenu des messages:
La première fiche a suscité deux réactions et deux réponses, puis une réaction à l'une des réponses fournies (6 messages au total). Les réactions contenaient une appréciation générale et plusieurs questions propres au concept présenté. Les réponses fournies donnaient des exemples précis. Dans le cas de cette première interaction autour du concept de catégorisation, le contenu des messages est riche puisque l'échange a été poursuivi sur le contenu même des réponses au-delà de la fiche elle-même.
La seconde fiche a suscité une courte réaction de DanielP, qui pose implicitement une question en lien avec la première fiche.
La troisième fiche n'a suscité aucune réaction.
Les échanges vont donc en décroissant. A noter que ces concepts ont été présentés par mail le 19.11 alors que les échanges ont débuté le 13.11 pour se terminer en principe le 24.11; Il y a peut-être une certaine saturation liée au nombre de messages déjà échangés la semaine précédente. De plus, le temps nécessaire pour rédiger une réaction/question limite les possibilités. On pourrait penser que les participants ont tendance à réagir sur la première fiche reçue et qu'ils n'ont ensuite plus le temps de le faire pour les fiches suivantes. Dans le cas présent cela n'a cependant pas de sens puisque les 3 fiches ont été envoyées presque simultanément.
F. Henri propose de prendre comme critère non la taille des messages mais la richesse de leur contenu en les divisant en "Units of meaning" (p. 126). Je reprends ici l'abréviation proposé par DanielS pour ce terme, soit UDS pour "Unité de signification". Cela donne:
c. Temps de réponse:
Les réponses ont été émises dans un délai court (entre 2h et 1 journée après l'émission de la fiche). Plus de réactions par la suite. Les réponses aux questions posées ont été envoyées dans la demi-journée suivante.
d. Taux de participation:
Faible. Seuls deux participants ont réagi. En fait, sur 4 messages de questions/réactions trois ont été émis par DanielP, enseignant. Excepté la réaction et les questions de DanielS (participant), on peut dire que les échanges n'ont eu lieu qu'avec le responsable de l'exercice. Il faut relever que F. Henri fait une distinction entre d'une part les interventions de l'ensemble des participants en général et d'autre part les interventions liées directement au contenu de l'enseignement (p. 124).
Cette part est assez réduite; le contenu des messages portant avant tout sur les concepts eux-mêmes. Cela dit, elle n'est pas totalement absente. Pour considérer cette question il faudrait prendre en compte l'ensemble des messages échangés entre tous les participants (pas seulement dans le contexte des fiches-concepts). Dans le cas présent 2 messages contenaient des UDS relatives à la dimension sociale de l'échange, soit un remerciement pour une réponse et une question visant à savoir si la réponse fournie correspondait bien à la demande du destinataire.
Si l'on s'en tient à cette courte définition on constate que les messages échangés dans le cadre des fiches-concepts sont plus proches du modèle de l'interactivité que de la non-interactivité. Pour déterminer le degré d'interactivité de l'échange ne faut-il pas en effet estimer le degré de dépendance entre les divers messages au-delà du thème de la discussion ?
4. Dimension cognitive:
Autour de cette fiche on peut donc relever que: les éléments posant problème ont été identifiés, le problème a été reformulé, des définitions et des propositions sont formulées et enfin une première conclusion est tirée.
Cette dimension me semble être présente au moins dans deux cas:
Ces deux éléments peuvent-ils être rapprochés de la dimension métacognitive ?
5. Dimension métacognitive:
Si l'on considère le contenu des fiches et des différentes interventions, on constate que les critères adoptés par F. Henri (p. 129) concernant l'évaluation de la dimension cognitive sont opérationnels dans notre cas.
Si on prends l'exemple de la fiche catégorisation: peut-on estimer l'apport de la discussion ? L'échange s'est déroulé de la manière suivante:
Le processus peut donc être retracé et sa dimension cognitive évaluée selon les critères de F. Henri.
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