Tout d’abord, le passage du mode auteur en mode utilisateur est un calvaire. La solution proposée de faire échouer le mot de passe ne m’est pas apparue satisfaisante. Heureusement, deux jours avant la fin (c’est-à-dire bien trop tard) j’ai remarqué qu’en utilisant le browser Netscape pour le mode utilisateur et le browser Explorer (Microsoft) pour le mode utilisateur, cet handicap était enlevé. Cela pourra servir pour les générations à venir.
Certaines options sont mal conçues. J'en veux pour exemple le glossaire, qui souligne les mots de la même manière que les autres liens hypertextes présents dans le texte. Ainsi, l'élève ne sait pas si, en cliquant sur un mot, cela renvoie au glossaire ou s'il s'agit réellement d'un lien.
Web CT est « bugué ». Ce n’est pas possible autrement. Il arrive de changer une icone ou de l'enlever, et qu'elle réapparaisse quelques manipulations plus tard, sans aucun changement ! Il est également possible de faire dix fois la même opération avant que cela marche, sans savoir pourquoi cela marche la dixième fois. Là aussi, j’ai découvert qu’il était possible quelques fois de remédier à ce problème en vidant le cache du browser. Cela marche parfois (notamment pour uploader des fichiers), mais cela rend l’utilisation de Web CT encore plus lourde et pénible.
La chose la plus pénible, qui découle du point précédent, est que l’on ne sait jamais pourquoi cela ne marche pas. Puisqu’il est possible de mettre en cause le système, on ne sait pas si l’erreur vient de nous ou du système. Alors il arrive d’insister avec la même fonction pendant des heures, persuadé que l’erreur vient de la machine et d’autres fois, on essaie mille et une manières de faire pour se rendre compte que la première était la bonne… Cela n’a pas vraiment rendu l’utilisation de Web CT très excitante. Au contraire, je l’abordais toujours avec beaucoup de méfiance voire avec une certaine mauvaise humeur.
Enfin ce dernier point a fait que j’ai passé d’interminables heures sur Web CT, souvent pour rien et cela reste frustrant, agaçant, énervant. Je n’ai pas toujours eu l’impression que le temps passé sur Web CT était très rentable, car il faut le savoir le temps est précieux, même pour un étudiant et le temps perdu laisse toujours un mauvais goût dans la bouche.
A part cela :), Web CT s’est avéré un outil relativement intéressant pour développer du matériel d’enseignement à distance. Les principaux avantage sont la possibilité d’importer du HTML, ce qui permet entre autre de travailler « off line », ou simplement de créer des documents dans ce code (avec toutes les possibilités qu’il possède) avant de les importer.
En outre, la possibilité de tout personnaliser m’a paru très agréable, dans le sens où le design d’une page, d’un site, etc. reste un élément à mes yeux capitale, mais pas primordiale, et le fait de pouvoir le modeler quasi à volonté est important.
Les fonctionnalités proposées dans Web CT sont tous très bien faites et certainement utiles. Que ce soit le « Path editor », les « Web CT tools » ou autres « Tool page » et « Single page », chacune permet de réaliser des environnements spécifiquement performants. Le fait de pouvoir les imbriquer à volonté laissait notre inventivité totalement libre de faire des choses un peu originales.
Les quizzs (y compris la gestion des résultats) sont spécialement
bien conçu, bien entendu, une fois que l’on a compris comment cela
fonctionne et que l’on a résolu tout les bugs. Toujours cette possibilité
d’insérer du code HTML.
Je regrette également de ne pas avoir pu tester le matériel
et surtout de ne pas avoir eu l’occasion d’utiliser les fonctionnalités
de l’enseignant (gestion des étudiants). Je pense que cela aurait
été très formateur pour mieux comprendre et exploiter
les possibilités offertes par Web CT. La vision élève
apporterait sans doute également beaucoup à la manière
de réaliser une unité d’enseignement.
Pour cette UI, une référenciation explicite, centrée sur le texte me semblait adéquat car sur la même page, une autre UI non textuelle est présente et illustre une autre idée du texte. Ainsi, à la suite de la partie du texte exprimant l'idée contenue dans l'UI non textuelle, j'ai introduit une marque linguistique. Après mure réfelxion, cette UI possède à mon sens une fonction d'étayage, dans le sens où elle sert avant tout à attester l'UI référencante.
- UI 2
Cette deuxième UI est cette fois de nature plus schématique, dans le sens où il y a une volonté d'abstraction manifeste. Elle est également complexe, car elle peut encore se décomposer en UI de niveau inférieur. D'autre part, la référenciation est inférée par la valeur positionnelle de l'UI non textuelle par rapport à l'UI référençante. De plus elle joue un rôle d'information principale. En effet, c'est avec elles que l'élève comprend réellement les concepts cités dans l'UI référençante.
- UI 3
Cette UI présente la spécificité d'être légendée. D'autre part, la référenciation est explicitement centrée sur le desinataire, ce qui donne quand même un côté artificiel, car nulle part ailleurs dans le module, ce genre de référenciation est utilisée. Il ne se justifie ici que pour les besoins de l'exercice. La fonction d'identifiaction par extension est celle qui correpond le mieux à cette UI qui joue effectivement le rôle d'exemple, ou d'illustration concrète de ce qui est dit dans l'UI référançante.
- UI 4
Cette représente l'UI la plus caractéristique du module.
La plupart des UIs non textuelles possèdent les mêmes caractériqtiques.
Ce sont des UIs simples, sans commentaire et de nature "dessin schématique".
La référenciation se fait de manière implicite, centré
sur la valeur positionnelle. Elle exerce une fonction d'identification
par extension.
- UI 5
Cette UI est à mon sens complexe, car il est possible de la décomposer encore en deux UIs. Mais elle a un sens seulement lorsque les deux UIs sont présents en même temps. En tous les cas, dans l'UI référençant, les deux UIs sont nécessaires à la compréhension. La référenciation est explicite, centrée sur le texte et la nature , un dessin analogique. Il est difficile d'attribuer une fonction à cette UI. Bien que cela semble réducteur, la catégorie la plus appropriée semble être cellet d'identification par extension. Mais peut-être est-il possible d'envisager de lui attribuer une fonction d'apprentissage, dans le sens où le but de cette UI est de déclencher un comportement cognitif qui est la reconnaissance de la différence d'impression laissée par les deux sous-UIs. |