RAPPORT EXERCICE 3

Initiation au graphisme vectoriel interactif: SVG ou X3D

EX. 3-B.
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Page d'information en SVG, X3D ou VRML

Point de départ
- Création d’une page d’information en SVG

Démarche personnelle
Malgré mon envie d’en savoir plus sur le langage X3D, je me suis limitée au format SVG. Au début, j’ai étudié des exemples sur divers sites. Techniquement, cela m’a donné quelques bonnes pistes ; esthétiquement, j’étais plutôt déçue.
Créer une page d’information comme cela était demandé me semblait peu intéressant. Aussi, j’ai cherché un sujet suffisamment ouvert pour une mise en œuvre créative et ludique.
Je voulais connaître le potentiel artistique, créatif et interactif de SVG. J’ai étudié l’art concret qui utilisait des formes géométriques ou des modèles mathématiques pour m’inspirer visuellement.
Le premier objet que j’ai créé a été un carré noir. Cette forme claire et sévère m’a rappelé mon artiste fétiche actuel: Le Corbusier. A nouveau, c’est lui qui m’a inspiré l’idée finale : la création d’un espace équipé de quelques objets de provenance corbuséenne.
LE CORBUSIER’S LIVING ROOM est donc un petit hommage en SVG au grand artiste universel de La Chaux-de-Fonds.

Objectifs
- connaître et savoir appliquer les bases en SVG statique et dynamique
- faire tourner sans erreur une petite application
- mettre en oeuvre une idée créative
- respecter un certain niveau esthétique

Démarche téchnique
J’ai commencé cet exercice avec l’étude d’exemples sur divers sites web incluant ceux de Tecfa.
Pour la création des objets, j’ai utilisé l’éditeur " inkscape", puis j’ai importé le code dans le fichier principal. C’est ainsi que je me suis familiarisée avec le code.
L’emplacement des objets dans l’espace était un processus long et compliqué. Souvent il m’a fallu une dizaine de corrections pour placer l’objet à l’endroit voulu.
L’animation des objets était plus facile. Surtout, les possibilités du langage SMIL me semblaient faciles et efficaces, mais malheureusement, pour certaines applications, plus compliquées et un peu limitées.
Dans ces cas, j’ai dû avoir recours à JavaScript qui m’a permis une mise en oeuvre plus souple et précise.
L’animation ressemble finalement fortement à une animation en « flash » à la différence que la mise en oeuvre en SVG était plus compliquée et beaucoup plus lente.
Comparer à son grand frère « flash » et son langage de programmation « action script », SVG restera à mon avis, sans commercialisation et sans lancement d’un bon logiciel, un format singulier réservé à des applications et à un public très particuliers. Après la fusion d’Adobe et Macromedia, je doute qu’Adobe investisse pour développer son outil dans le but de garder un produit concurrent à celui de Flash.