Le choix du sujet n’a pas été évident, en effet j’ai été partagé entre un sujet scientifique, ou la modularisation d’un cours est assez évidente, un cours de mathématiques ou de géologie par exemple peut être modulé facilement selon le niveau de difficulté, et un sujet assez ouvert tel les sciences humaines, ou la modularisation n’est pas évidente du tout. J’ai opté en fin de compte pour un sujet en psychologie, ceci dans le but de découvrir aussi l’une des spécialités du domaine. La décision finale était la psychologie de la cognition.

Etant donné que le sujet ne fait pas à pas partie de mes compétences, la prise en main de celui ci a pris un temps assez long, trois semaines à peu prés, ou il fallait d’abord trouver les ressources nécessaires à une bonne compréhension de ma part, ensuite trier celles ci pour n’en retenir que les parties "jugées" pertinentes, afin d'éviter de développer des pages et des pages de texte. .

J’ai d’abords essayer d’identifier les notions clefs de la psychologie de la cognition, pour pouvoir développer par la suite le cours autour de celles ci aussi restrictivement que possible, pour cerner les idées importantes et éviter de les noyer dans une masse d’informations conséquente, j’ai choisi les trois approches théoriques les plus répondu qui traitent de la psychologie de la cognition auxquelles j’ai rajouté une présentation du sujet au début, et une sorte d'impact de ce que valait la signification des choses, ce qui a fait au total les 5 unités exigées dans le cahier des charges.

En général le cours demande une activité d’attention pour pouvoir comprendre et suivre l'enchaînement, dans certaines unités il y’ a certaines expériences issues de la psychologie expérimentales qui sont présentés pour étayer les propos de l’unité, j’ai choisi d’intégrer un lien vers ces expériences dans les unités concernées, ceci afin d'éviter de distraire l’attention de l’apprenant, chacun pourra consulter ces expériences par exemple à la fin du module. Il faut dire que le cours est assez lourd en soi, Il fallait bien réfléchir sur la disposition des unités l’une par rapport aux autres, j’ai chois d’introduire la perception directe en premier car j’ai estimé que c'était la plus simple à comprendre et la plus proche de notre vécu, ensuite l’approche métaphorique du traitement de l’information avec qui est à un palier de difficultés supérieure à la première, et fin l’approche constructiviste ou les notions et surtout l’incidence des résultats de celles-ci sur notre compréhension de la signification de la perception.

Dans l’ensemble, le " pack " WebCT n’était pas trop mal, sa conception et son mode de fonctionnement, si on arrive à bien maîtriser, offre le moyen de gérer un certain nombre de tâches simultanément.

Concernant les inconvénients, j'ai relevé quelques-unes unes dont j'ai été confronté durant le développement du cours, tout d'abord le problème des accents, WebCT étant un logiciel en anglais il n'accepte pas les titres et les entrées du glossaire, cela m'a obligé de refaire tout le glossaire à la main et sans accent, alors qu'au départ j'avais importé un fichier de glossaire, difficultés de manipuler l'index, le fait d'introduire les entées un à un et à partir des unités concernées est une contrainte. Dans le File manager on n'a pas la possibilité d'éditer les noms des fichiers, et de même pour les titres de la liste du cours. Le problème le plus grave que j'ai rencontré est celui relatif à la création des comptes élèves, en effet un élève inscrit au cours n'a pas accès au cours. Les quizes sont aussi lourds à manipuler.

Je pense qu'un peut plus de liberté dans les fonctions de conception rendrait le logiciel attractif.