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Afficher l'organigramme | Afficher les explications
L'avantage de SmartDraw95 (comme d'autres logiciels vectoriels d'ailleurs), c'est qu'il permet un
'zoom in' ou un 'zoom out', sans une perte de la qualité de la lecture; ainsi, on peut ainsi travailler certaines parties du dessin infiniment petites sans être annuyé par la typique 'pixelisation' des logiciels bitmap (lorsqu'on
se trouve en mode 'loupe'. De plus, il est facile de modifier les paramètres géométriques des constructions que l'on a créées, sans avoir besoin d'utiliser la gomme !
J'ai ensuite reconverti les fichiers .SDR (SmartDraw95) en fichier .GIF interlacé à l'aide d'un petit convertisseur freeware; j'ai donc obtenu une image de qualité moyenne, laquelle ne surchargera pas les browsers de mes visiteurs.
Le texte ne nous donne que peu d'informations sur le fonctionnement de l'Open Universiteit, étant donné qu'il est censé accompagner l'organigramme qui ne nous a pas été fourni ! Ainsi, de multiples lectures sont nécessaires afin de dégager les éléments importants de la description. Seule la première partie du texte décrit les entités essentielles composant ce système institutionnel. Une grande partie de la description est consacrée au 'planning professoral', ce qui n'est pas très informatif en soi. Le dernière paragraphe du texte nous explique les fonctions de quatre départements en relation avec les étudiants, sans nous expliquer les connections qu'ils ont avec l'ensemble du système. Ainsi, sans la présence de l'organigramme original, la compréhension n'est pas facilitée.
Ce que j'ai retenu de la description verbale de l'Open Universiteit est l'aspect 'interactif', 'participatif' entre les différentes composantes de l'Institution; on peut donc supposer qu'il existe une certaine dynamique entre les différentes parties du système; mon organigramme s'est donc construit à partir de ce concept de 'dynamique', d'interaction.
Afin de me faciliter la transcription ultérieure, j'ai ensuite dégagé les composantes principales du système en essayant de les réduire au minimum, dans un désir de simplification; selon moi, trois entités se dégagent du texte : la première est 'juridico-économico-politique' (le conseil de l'Université, le Rectorat, etc.), la seconde est plutôt 'pédagogique' (corps professoral & secteurs de recherche pédagogique [COP, OTIC...]); le texte semble insister sur l'importance de cette composante. Quant à la troisième entité, bien qu'on y fait pas directement allusion dans le texte, elle est représentée par la population studiantine et apprenante : j'ai jugé nécessaire de la faire apparaître dans mon schéma, vu que sans elle l'Université et ses sous-processus n'ont plus de raison d'être. J'ai donc décidé de représenter dans mon organigramme ces trois 'catégories', tout en insistant sur la dynamique qui existe entre elles.
Qui plus est, j'ai considéré dans la mesure du possible la hiérachie existant entre les différentes parties du 'réseau'. Cependant, je tiens à souligner que selon moi, la hiérachie n'est pas la préoccupation majeure du texte; l'accent est mis sur l'interaction.
Les rectangles symbolisent la première entité, c'est-à-dire tout ce qui fait partie du domaine administratif, politique, juridique (au sens du réglement universitaire), économique ou disciplinaire. L'exception à cette règle est le rectangle plus foncé qui englobe l'O.U. elle-même.
Les cercles schématisent la deuxième entité, c'est-à-dire le domaine de l'enseignement et de la recherche pédagogique (entre autres); les objectifs de cette seconde entité s'éloignent considérablement du pôle administratif, bien que ce dernier a également son importance quant à la répartition des ressources économiques à travers les différents 'modules' composant cette deuxième entité.
La troisième entité, l'apprenant, est représentée par un triangle; j'ai jugé nécessaire de faire apparaître ce troisième acteur, vu qu'il est la condition sine qua non à l'existence d'un tel super-système qu'est l'université en général. Selon moi, il est important de faire la distinction entre l'apprenant et le reste du système, et l'utilisation d'une telle forme géométrique remplit cette fonction.
Plus on descend vers la zone inférieure de l'organigramme, plus on quitte le domaine administratif pour intégrer le pôle 'pédagogique'. Bien entendu, cette hiérarchie n'est pas stricte, vu qu'on ne peut pas nier le pouvoir de décision des sous-structures pédagogiques; c'est dans le but de détruire une optique trop rigide de la hiérarchie que j'ai utilisé des flèches à double sens, signifiant par là une certaine interaction. Si l'on était connectiviste, on parlerait de flux bottom-up, c'est-à-dire l'influence que les niveaux 'subordonnés' (au sens figuré) du système peuvent avoir sur les niveaux supérieurs.
L'apprenant (triangle) se situe au centre de l'organigramme, vu qu'il se trouve selon moi au carrefour des interconnections; c'est à travers lui (ou pour lui) que le système fonctionne et que le savoir progresse et se perpétue. Il est à signaler qu'aucune flèche n'arrive ou ne part de cette troisième entité; cela aurait surchargé le graphique. Sa localisation spatiale en dit assez long sur sa fonction.
Peut-être est-ce dû à mon côté perfectionniste, mais je ne suis pas entièrement satisfait du résultat... Qui me donnera la solution ? :)