Table des matières
La première page de chaque tutoriel indique si des pré-requis sont nécessaires mais il n’y a pas de pré-test. Dans chaque tutoriel, il y a plusieurs TAC qui permettent à l’étudiant de savoir où il en est. Ils suivent en général immédiatement l’introduction d’une nouvelle notion. Et, il n’est pas possible d’accéder à la suite du tutoriel si le quiz n’est pas réussi.
La partie théorique
La présentation est sobre et les images alternent avec le texte. Elles font partie intégrante des explications. Elles sont simples, se chargent rapidement. Généralement ce sont de simples schémas en noir et blanc ou en couleur si cela est nécessaire. La couleur est ajoutée pour faciliter la lecture ou pour mettre en avant un point important. Elles ont donc une fonction importante. Pour avoir déjà suivi un cours sur ce sujet, je peux certifier qu’un texte sans graphique est complètement incompréhensible.! Ce ne sont pas des distracteurs. Leur insertion dans le texte est bien choisie.
Les textes sont brefs et clairs. Lorsqu’il définit un mot Caldwell le met en gras. Cela permet de vite retrouver les définitions lorsque l’on est un peu perdu. Dans certains modules, on trouve des liens vers d’autres sites. Par exemple, lorsqu’il parle des graphes d’Euler, il y a un lien vers un site consacré à Euler. Ce sont donc des liens qui ne sont pas nécessaires pour comprendre l’exposé. De plus, afin d’éviter des erreurs de navigation, Caldwell a eu l’idée de mettre une bulle au début du tutoriel contenant des liens vers d’autres sites qui explique comment revenir facilement au tutoriel (touche back).
Les quiz
Ce sont des questions à choix multiples. Il est toujours indiqué si une ou plusieurs réponses sont correctes. Là aussi, les questions peuvent contenir des dessins. Comme il n’y a pas beaucoup de théorie pour chaque sous-module, le quiz comporte plusieurs questions sur le même thème. Ce sont en général des questions qui demandent à l’apprenant un peu de réflexion. On ne lui demande jamais de redonner une définition par exemple. En fait, ici, on veut s’assurer que l’apprenant a bien compris ce qui a été présenté dans la partie théorique. L’idée n’est pas qu’il doit tout savoir pas coeur mais simplement qu’il doit être capable de reconnaître si des objets répondent à certaines définitions.
A la fin de son test, l’apprenant reçoit le nombre de point qu’il a fait avec un feed-back pour chaque réponse qui lui donne toujours la bonne réponse mais qui comporte également un feed-back en fonction de son erreur. L’étudiant a toujours le choix, s’il le désire de refaire plusieurs fois le quiz. Dans le cas où le nombre de points n’est pas suffisant, il est conseillé à l’élève de retourner dans la leçon. Il a d’ailleurs pour cela un bouton à disposition. A noter, dans un quiz, les questions n’ont pas toute la même valeur. De même, pour la même question il est possible qu’une réponse ait un poids plus grand.
Diana Balzan Dietrich, 08.01.98