STAF 15 / Diana Balzan Dietrich, Jacques Monnard |
Le parcours comporte trois points distincts qui permettent à l'étudiant d'avoir une vue étendue de l'intérêt des SRT et de leurs rapports avec l'informatique :
Chaque paroi a un papier peint différent (lettre pour l'écriture,etc.). De plus, ce papier n'est pas uniforme pour montrer la spécialisation d'un axe. Ainsi, sur l'axe traitement des dimensions, on pourrait avoir un papier qui vers le sol est rempli de nombre puis en montant on ajoute des opérations (addition, etc.) puis des équations.
Sur chaque paroi, on trouve des copies d'écran montrant une activité en rapport avec l'axe considéré. En cliquant dessus, l'étudiant peut savoir quel logiciel a été employé. D'autre part on trouve aussi des exemples de logiciels correspondant essentiellement à l'axe. (par ex. word pour la représentation symbolique). Tous ces objets sont placés sur la paroi en fonction de leur degré de spécialisation. On pourrait imginer que les encadrements ne soient pas les même pour les copies d'écran et les exemples de logiciels.
Il faut aussi expliquer à ce stade la propriété récursive du modèle. Une solution serait que le prof propose à l'étudiant de se ballader dans la salle et de voir s'il ne remarque pas des choses troublantes. Par exemple, que sur l'axe de la représentation symbolique un exemple a été fait avec excell alors que celui-ci se trouve en tant que logiciel sur un autre axes (tableur). Pour le guider on pourrait lui proposer de remplir un questionnaire qu'il trouverait soit sur une table, soit sous forme de bouton au bas de l'écran.
Une fois le questionnaire rendu on pourrait imaginer que le prof explique en deux phrase que tout logiciel peut se décomposer selon les huit axes mais que simplement il privilégie certains des axes. On pourrait alors mettre sur un tableau noir les différents prologiciels de base et,(ou sous forme de boutons au bas de l'écran) et, si l'étudiant clique dessus, il verrait s'ouvrir un schéma avec les axes (ou plages) qui sont mis en oeuvre dans ce logiciel. Si on fait cela pour tout logiciel, on pourrait avoir une base de données hypertextuelle des logiciels existants. De plus, même pour un logiciel très spécialisé on peut faire cette décomposition.
Le prof pourrait par exemple expliquer à l'étudiant que s'il existe un SRT, il est fort possible que selon le message que l'on veut faire passer, une représentation conviendra mieux qu'une autre. Par conséquent, dans tout acte d'apprentissage, il est important de savoir choisir le meilleur mode de représentaiton. Pour cela, l'étudiant va travailler sur le campus virtuel. En le traitant de différentes manières (représentation spatiale, textuelle, description par ses relations logiques ou par des indicateurs statistiques) il pourra voir réellement ce que dans chacun des cas on mémorise le plus facilement, ce qu'il est possible de faire ou pas. Par exemple, à priori une représentation spatiale convient parfaitement à quelqu'un qui ne connaît pas encore le campus. Par contre il n'est pas possible d'entrer autant d'informations que dans un texte.
L'idée est donc ici de confronter l'étudiant aux diverses propriétés des différentes représentations.
Diana Balzan Dietrich et Jacques Monnard