L’Organigramme de l’Open Universiteit hollandaise

Table des matières

  1. Choix du logiciel utilisé

    En tenant compte du critère prescrit (logiciel de dessin de type vectoriel), j’ai décidé d’employer CorelDRAW7. La principale raison est pratique : il est installé sur mon ordinateur personnel. De plus, il permet d’exporter facilement des fichiers GIF (en théorie du moins...).

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  2. Critères et choix des éléments de la description verbale retenu
    La description du fonctionnement de l’université est lacunaire : les organes ne sont pas tous cités, et pour certains, la clarté des informations n’est pas toujours présente... Par exemple, que représente véritablement le conseil participatif? En fait ce texte me donne l’impression que les auteurs supposent que le lecteur a déjà une bonne connaissance du fonctionnement d’une université. Il va sans dire que ce n’est pas mon cas! Il ressort toutefois de ce texte une double dimension de l’organisation de cette université : la première est d’ordre hiérarchique et la seconde est plus basée sur la forte composante participative qui lie les différents organes. Partant de ce constat, j’ai tenté de retrouver ces deux axes dans ma représentation en gardant un maximum des informations que me donnaient le texte. Mais, il va de soi qu’il n’était pas possible de tout restituer.
    J’ai en particulier retenu les éléments suivants de la description verbale :
    • le paragraphe 1 dans son ensemble qui permet de définir la hiérarchie de l’université et le fait qu’il y a « de surcroît une forte compostante participative»
    • « le cahier des charges du corps professoral (...) car il paraît significatif du fonctionnement de l’Open Universiteit»
    • « [l’organigramme] se présente davantage comme un réseau d’interactions entre divers services au sein duquel les facultés ne constituent qu’un pôle parmi d’autres »
    • les quatre départements décrits, à savoir le COP, l’OTIC, l’OuE et l’E&I.

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  3. Les variables visuelles
    • Rectangles arrondis
      Ils représentent les différents organes et services de l’Université. Je les ai préféré à de simples rectangles car leurs sommets non « pointus » me semblaient mieux convenir à l’idée de participation. Ils sont moins sévères, moins rigides que de simples rectangles.
    • Pyramide
      L’Organigramme de l’Université est enfermé dans une pyramide qui permet de bien montrer les différents niveaux hiérarchiques entre les organes.
    • Droites
      Elles relient les différents niveaux hiérarchiques.
    • Cercle
      Dans l’étage du bas, j’ai décidé de représenter tous les services sur un cercle. En effet, dans cette figure, il n’y a pas de sommet, ni de bas (on peut faire tourner indéfiniment un cercle). De ce fait, tout les services se trouvent au même niveau. L’important ici n’est plus la hiérarchie mais la participation.
    • Flèches
      Situées à l’intérieur du cercle, elles sont là pour montrer combien ces différents services interagissent et coopèrent ensemble. De plus, s’il faut ajouter un service, il suffit de rajouter une boîte sur le cercle et une flèche qui lui correspond.

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  4. Eléments de syntaxe utilisés et variables visuospatiales
    • La taille et le format des caractères
      La taille permet de montrer la hiérarchie. En effet, plus on descend dans le diagramme plus les caractères sont petits à chaque niveau hiérarchique. De plus, les choses essentielles sont écrites en gras. Le reste n’est pas nécessaire à une première lecture de l’organigramme.
    • la taille des rectangles arrondis
      au troisième niveau, ils sont tous de taille pratiquement semblable afin de bien insister sur le problème qu’aucun service n’est plus important que l’autre. Pour les deux premiers niveaux hiérarchiques, la taille des rectangles contribue à l'effet pyramide et donc indique la hiérarchie.

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  5. Difficultés de conversion et solutions
    Ce qui m’a profondément gêné dans cet exercice est le manque de clarté du texte. En effet, chaque fois que je tentais de mettre sur le papier les informations que je possédais, il me semblait toujours qu’il me manquait quelque chose. J’ai donc eu beaucoup de peine à trouver une représentation qui me satisfasse. Ainsi, lorsque je parle de centre d’études, je ne sais pas exactement qu’est-ce qui se cache derrière cette notion. J’ai eu beaucoup de peine à dégager ce qui était vraiment essentiel dans ce texte.
    La deuxième difficulté a été de réussir à mettre sur le même graphique une relation verticale (hiérarchique) et une relation horizontale (l’interaction et la participation). Il va de soi que la pyramide s’est tout de suite imposée pour la représentation de la hiérarchie. Par contre pour représenter ce côté participatif, j’ai eu plus de peine. Je ne suis pas d’ailleurs sûr que ma solution soit très claire. Au départ j’avais pensé relier tous les services par des flèches à double sens mais visuellement, on ne voyait plus qu’un amas de flèches.

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  6. Difficultés techniques et solutions
    Je me suis retrouvée devant deux sortes de difficultés : tout d’abord, il faut reconnaître que CorelDRAW demande un apprentissage. de ce fait, j’ai perdu beaucoup de temps au début de ce travail pour tenter de maîtriser ce logiciel. Mais, comme le dit le célèbre adage c’est en forgeant que l’on devient forgeron.
    Mon autre difficulté a été de transférer ma description sur le Web. En effet, pour des raisons de lisibilité, je voulais qu’elle tienne sur un écran. Au départ, j’ai bien cru que je n’y arriverai pas. D'ailleurs, ce n'est pas encore tout à fait le cas... Je pense que j’ai encore pas mal de travail de ce côté-là.

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Diana Balzan Dietrich, 20.11.97