Les figures de styles

Vous venez de prendre connaissances de quelques figures de style existantes. Dans l'exercice suivant vous allez de voir reconnaitre des figures d'insistance ou d'atténuation.

Faites glisser l'extrait sur la case indiquant la figure de style utilisée. (Il est conseillé d'afficher cette page en plein écran) Retour vers les explications

Adieu, veau, vache, cochon, couvée. (La Fontaine, La laitière et le pot au lait)
ce garçon-ci n'est pas sot, et je je ne plains pas la soubrette qui l'aura! (Marivaux, Les jeux de l'amour et du hasard)
Rien n'était si beau, si leste, si brillant, si bien ordonné que les deux armées. (Voltaire, Candide)
Je crois que je pourrais rester dix mille ans sans parler (Sartre, Huis clos)
Et jamais je ne pleure et jamais je ne ris (Beaudelaire, La Beauté, Les fleurs du mal)
C'est un roc!... C'est un pic!...C'est un cap! Que dis-je, c'est cap?... c'est une péninsule! (Rostand, Cyrano de Bergerac)
Coeur qui a tant rêvé, Ô coeur charnel. Ô coeur inachevé, Coeur éternel (Charles Péguy, Ballade du coeur qui a tant battu)
Innocents dans un bagne, anges dans un enfer (Hugo, Mélancholia, Les contemplations)
L'éternité pour moi ne sera qu'un moment (Rousseau, Odes)
Toujours aimer, toujours souffrir, toujours mourir. (Corneille, Suréna)
Je me meurs, je suis mort, je suis enterré. (Molière, L'Avare)
Elle a vécu (André Chénier, les Bucoliques)
Va, je ne te hais point. (Corneille, Le Cid)

Anaphore

Parallélisme

Hyperbole

Accumulation

Gradation

Euphémisme

Litote